Yo,
comment ça va cette semaine ?
J’avais envie de te parler rapidement d’un sujet qui me fait pas mal réfléchir en ce moment.
En fait, toute ma vie, j’ai tenté de rester dans ma zone de confort, j’ai toujours eu besoin de personnes à mes côtés pour accomplir des choses.
Pour une bonne et simple raison : diluer la peur.
Je ne sais pas si je me considère comme un peureux, mais la peur m’a empêché de faire beaucoup de choses.
Je ne m’étais jamais posé la question jusqu’à récemment et ce qui en ressort est plutôt intéressant pour pouvoir accomplir des choses et prendre du plaisir.
Elle sera toujours là
La peur c’est une émotion qui est naturelle, elle te prévient d’un danger qui va potentiellement arriver. Sans peur, on ferait n’importe quoi.
Elle peut venir d’un titre de journal, qui va te plomber le moral et ne va plus te faire sortir de chez toi.
À une crainte de foirer un oral ou de parler en public.
Mais aussi, de mourir, lorsque tu fais un saut en parachute par exemple.
Elle sera toujours derrière.
Mais derrière quoi ?
J’ai remarqué que la peur se cache souvent derrière des choses qui nous excitent.
S’il y a de la peur, c’est que notre cerveau nous a projetés à entreprendre quelque chose (souvent inhabituel) et est présente pour te dissuader de passer à l’action et donc de rester dans ta zone de confort.
Exemple : j’ai une amie qui a peur de conduire la nuit. Elle s’est façonné cette image parce qu’elle a eu un accrochage en voiture en rentrant du travail à la tombée de la nuit. Depuis, elle ne s’autorise plus à conduire la nuit par peur.
Le truc, c’est qu’elle se dit elle-même que ce serait beaucoup plus pratique de ne pas dépendre des autres et de se laisser bouffer par cette peur qui ne la lâche pas.
Derrière cette peur, il y a donc souvent des choses qui nous font sentir vivants comme apprendre de nouvelles compétences, avancer ou encore accéder à des rêves.
Le plus souvent, c’est dans la tête
J’ai appris, grâce à mon coach d’ailleurs (que je peux te conseiller si jamais tu as des blocages), que toutes les peurs que l’on ressent sont crées par nous-mêmes.
Personnellement, j’ai peur d’aller à des soirées dans lesquelles je ne connais personne car j’ai l’impression que tout le monde sera focus sur moi et je déteste ça (ce qui est totalement faux, tout le monde s’en tape de ma gueule dans ces soirées).
Et comme je te le disais plus haut, cette peur intervient alors qu’il y a des trucs cool derrière.
C’est à dire faire de nouvelles rencontres, qui peuvent nourrir mon esprit et pourquoi pas mon business, et me sentir capable de faire des connexions facilement.
Là où je disais “non” à chaque fois qu’on m’invitait solo dans des soirées ou évènement. Aujourd’hui je me force à dire oui, même si j’ai peur, car je sais que je serai fier de moi ensuite et que le résultat sera bon.
Savoir dissocier la flemme et la peur
Parfois, les deux se mélangent.
Il y a des choses que tu n’as pas envie de faire, ton corps te dit non. Et tu ne sais pas si tu as une grosse flemme ou si tu as peur.
Je t’invite simplement à te poser la question à chaque fois que tu sens un blocage.
Personnellement ça m’a beaucoup aidé à agir ou non.
Avoir la flemme n’est pas quelque chose de mauvais, si tu te fais passer en priorité par exemple : “flemme de sortir avec mes potes, j’ai envie d’être en forme demain et j’ai besoin de me ressourcer seul ce soir.”
En revanche, lorsque la peur intervient, il est bon de pouvoir la surmonter. Pour moi, c’est comme un muscle, plus tu vas lui faire face, plus tu t’habitueras à la surmonter. Et moins elle sera présente.
Ton champ d’action sera donc décuplé et tu deviendras président des Etats-Unis d’Amérique. Tout est possible.
Sans risque, il ne se passera rien
La peur intervient lorsqu’il apparait.
Le risque est tellement facile à repérer qu’il devrait être quelque chose qui nous motive.
J’ai longtemps été dans cette optique de limiter les risques pour vivre une vie tranquille.
Le problème c’est que mon estime s’évanouissait petit à petit.
En revanche, lorsque je prenais des risques, que je surmontais mes peurs, j’avais une estime pour moi qui remontait.
Il faut simplement se dire que rien n’est logique, mais lorsqu’on a compris ce mécanisme, on peut faire de grandes choses.
Prendre des risques te laissera donc l’opportunité de progresser et d’accéder à une vie meilleure. Et pour ça, il faut faire une descente de coude à ta peur lorsqu’elle arrive.
Pour résumer
Quand la peur arrive, c’est souvent bon signe, elle ne serait pas là si tu n’avais pas un truc qui pourrait améliorer ta vie derrière. Donc tu as toutes les raisons de la combattre pour accéder à quelque chose d’encore plus excitant.
Il suffit de prendre quelques secondes de recul à chaque fois que tu ressens la peur pour prendre des mesures de mise en action.
Au fait, Hast fête ses 10 ans demain et la capsule est folle
Tu connais sûrement Hast et cette année, ça fait 10 ans qu’ils se sont lancés.
D’abord avec des chemises, depuis leur vestiaire a beaucoup évolué.
À l’occasion de leurs 10 ans, ils ont produit 10 pièces, édités à 100 exemplaires (numérotés) chacune (il ne faut pas trainer donc, ça va partir très vite).
Il faut savoir qu’ils ont soigné tout particulièrement ces 10 vêtements pour que tu aies entre les mains des pièces encore plus premium à des prix raisonnables.
Voici un aperçu :
Ça sort demain, je te conseille de te jeter particulièrement sur la chemise western, la popover verte (idéale pour les grandes chaleurs d’été), le pantalon à pinces et le blazer croisé.
Ça sort demain (vendredi 10 mars).
Retrouve toutes les informations sur la collection des 10 ans ici :
https://www.hast.fr/fr/blog/la-collection-10-ans-vue-par-sebastien-styliste-chez-hast-n466
Ou en cliquant sur ce bouton :
À la semaine prochaine,
Luca